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On m’a parlé de « Growth hacking » !

Qui n’a pas déjà entendu parler de growth hacking ?

Souvent galvaudé, le Growth Hacking est aussi tendance que méconnu et véhicule encore bon nombre d’idées reçues. Que signifie ce terme ? En quoi consiste réellement cette pratique, et comment  la différencier du marketing traditionnel ?

Le Growth hacking, ou comment “pirater la croissance” !

Littéralement, le terme growth hacking signifie « piratage de croissance ». C’est l’ensemble des techniques permettant d’accélérer, à moindre coût et de façon significative, la croissance et le chiffre d’affaire d’une société. Ces pratiques peu coûteuses, innovantes et agiles, sont basées sur la méthode AARRR (Acquisition, Activation, Rétention, Revenu, Recommandation) dans le seul et unique objectif est de vendre et de fidéliser tout au long de l’entonnoir de conversion pour créer de la croissance forte et durable. Cette discipline a été formalisée par Sean Ellis, un ancien de Dropbox aux Etats-Unis, en 2010. Méthode préférée des startups de l’économie digitale, cette technique s’applique en réalité à toutes les entreprises qui ont des objectifs de croissance ambitieux et rapides.

Un ensemble de techniques … et surtout un état d’esprit !  

Contrairement au marketing traditionnel, qui se concentre sur l’acquisition et l’activation selon un budget défini, le Growth hacking exige d’avoir la main sur l’ensemble du système à travers un framework détaillant toutes les étapes du funnel de conversion. Le Growth hackeur n’a pas de feuille de route établie ni de descriptif de poste exhaustif. S’il veut atteindre ses objectifs, il doit disposer de compétences digitales, marketing et commerciales, intégrer les aspects psychologiques et comportementaux de ses clients et avoir l’ouverture d’esprit qui l’amènera à imaginer, en partant du besoin consommateur, des solutions à contre-courant de ce qui se pratique habituellement.

Encore beaucoup d’idées reçues !

  1. C’est magique !

Cette mythologie est parfois entretenue par les growth hacker eux-mêmes, laissant entendre aux non-initiés, non sans ironie, que leurs interventions sont « magiques ». Or, pour faire décoller un business, il faut utiliser des techniques, telles que le scraping d’emails ou de données, qui ne relèvent ni de la magie ni du glamour ; à condition bien sûr de connaitre les bons outils et de savoir les utiliser….

  1. Il faut savoir coder !

Il est toujours utile de savoir coder, mais cette compétence n’est pas requise lorsque l’on s’engage dans le « piratage de croissance ». Malheureusement, tout ne peut pas être résolu par une ligne de code…

  1. Pour lancer un business, il suffit d’embaucher un growth hacker !

Cela ne sert à rien d’embaucher un growth hacker si l’on n’a pas une audience bien définie et un produit bien pensé. Revenez quand le produit sera bon ! Vous pourrez ainsi intégrer votre action dans une stratégie multicanale à plusieurs bandes, en rappelant par exemple via mail scrapé sur LinkedIn une audience ciblée déjà adressée via un autre canal.

Nous piloterons tous les leviers nécessaires à l’accomplissement de vos objectifs de croissance.  Notre équipe vous accompagnera, avec un suivi personnalisé, de la définition de votre stratégie à la mise en place des réalisations techniques, jusqu’au suivi de vos KPIs. Profitez d’un audit gratuit !

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